Sonika Studio,
maroquinerie design

Avec ses objets de maroquinerie au design minimaliste, Sonika Studio nous plonge dans un univers graphique et coloré à portée de main. Se mettant au défi de bouleverser les codes du luxe avec des modèles fabriqués en France, Szonja Iván-Ly, fondatrice de la marque, défend une approche slow fashion. Aux racines du design (NDLR – Szonja a mené des projets audacieux au sein de l’agence française 5-5 Design Studio en tant que Designer Produit), la créatrice imagine des sacs de formes à la fois inattendues et épurées. « Less is more », chez Sonika Studio la qualité prime sur la quantité, les sacs sont conçus comme de véritables compagnons de route pour s’installer durablement dans nos vies. Engagée dans une production raisonnée, la jeune femme d’origine hongroise a noué des partenariats avec des ateliers de maroquinerie de la région du Maine et Loire et sélectionné avec le plus grand soin des fournisseurs de cuirs et bijouteries européens. Les anses du sac à dos et du sac rond sont quant à elles réalisées dans un atelier familial de Kyoto selon la technique ancestrale du « kumihimo ». Ode au mouvement Mingei symbolisant la revalorisation de l’artisanat, la première collection Aya est à découvrir à l’occasion du salon Who’s Next du 6 au 9 septembre. Focus sur les quatre modèles empreints d’un caractère esthétique et fonctionnel.

#1 Le sac à dos Aya

Avec ses mensurations idéales (L20 x H40 x P12 cm), le sac à dos Aya est le parfait compagnon des femmes. Le cuir de veau lisse amplifie son design structuré pour cet écrin à indispensables, précieusement fini de bijouteries en laiton doré. Pratique, il se referme d’un zip ou simplement du rabat aimanté. Grâce à son anse en soie tressée déperlante ajustable et sa poignée, il se plie à tous les styles et usages : porté en sac à dos il est casual, porté main il est urbain, porté poignée il est sophistiqué.

#2 Le sac rond Aya

Sur le même principe de modularité, le sac rond Aya se porte tantôt à l’épaule, à dos ou en bandoulière (crossbody). Il faut remonter à l’époque des Samouraïs pour décrypter l’origine des cordes de soie tressée, éléments clés de la fonctionnalité du sac. Elles fixaient les armures des samouraïs et se sont muées à travers les époques en ceintures de kimonos. Ultra solides et soyeuses, elles sont aujourd’hui traitées déperlantes par l’atelier familial de Kyoto qui perpétue cette tradition. Fourmillante d’idées, la créatrice a plus d’un tour dans son sac, et a imaginé de nombreuses combinaisons de réglage des bandoulières qu’elle entend partager avec ses clientes sous forme de tutoriels DIY.

Engagée dans une production raisonnée, la jeune femme d’origine hongroise a noué des partenariats avec des ateliers de maroquinerie de la région du Maine et Loire et sélectionné avec le plus grand soin des fournisseurs de cuirs et bijouteries européens.

Il faut remonter à l’époque des Samouraïs pour décrypter l’origine des cordes de soie tressée, éléments clés de la fonctionnalité du sac. Ultra solides et soyeuses, elles sont aujourd’hui traitées déperlantes par l’atelier familial de Kyoto qui perpétue cette tradition.

#3 Le sac de ceinture Aya

Incontournable du vestiaire de la citadine, le sac ceinture version Aya s’en détache en un clip à l’aide de deux boutons-pression. Muni de poches et compartiments zippés en agneau plongé, sa contenance proche du format d’un portefeuille de type compagnon, permet d’y ranger cartes, smartphone, monnaie et autres papiers.

#4 La poche Aya

Audacieuse idée de Szonja Iván-Ly, formée en design produit à L’Ensci Les Ateliers, la poche d’extension Aya offre un espace de rangement nomade pour les femmes. Revisitant la poche de chemise, l’étui qui s’accroche avec un mousqueton sur un pantalon ou un tote-bag, peut contenir un téléphone et quelques cartes. Tout cuir, le modèle est en veau lisse pour l’extérieur, agneau plongé pour l’intérieur jusqu’à la fermeture aimantée subtilement doublée.