Un secteur responsable par nature
Le cuir étant un coproduit de l’industrie agroalimentaire, la filière française participe ainsi à la plus ancienne activité de recyclage au monde. Chaque année en France, 160 000 tonnes de peaux brutes sont ainsi valorisées par les industries des cuirs et peaux et de la tannerie mégisserie. Alors cette innovation, qui n’en est finalement pas une, permet à la filière de prendre la parole avec pédagogie et humour afin de démystifier les idées reçues. Une étude comparative, menée par l’institut allemand FILK Freiberg Institute sur les propriétés physiques de dix matières, dont le cuir et neufs matériaux alternatifs, conclut à la supériorité incontestable du cuir tant en matière d’usage, longévité, perméabilité, absorption de l’eau que résistance à la traction, la pliure et la déchirure. Les résultats révèlent également que la plupart des nouveaux matériaux sont constitués d’une part importante de matières synthétiques issues de la pétrochimie. « C’est pourquoi le cuir ne saurait être comparé à toute autre matière dite alternative, un terme insinuant que cette matière pourrait être remplacée. » Alors même si le RIUC© est fictif, les propriétés et les qualités du cuir sont, elles, bien réelles. D’ailleurs avez-vous réalisé que « RIUC » est l’anagramme de … « CUIR » ?
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