Maison Faret se (re)met en selle
Du vélo à la maroquinerie, il n’y a qu’un pas pour cette marque française, fraîchement née et centrée sur la mobilité douce. Daniel Faret avait ...
Prononcez Pollux, et les fondements constitutifs de cette nouvelle maison de maroquinerie transgénération résonnent : peau, luxe, réunis au sein d’un même lieu de vie, symbolique de la famille. Pensés par deux mamans, tel un trait d’union avec leurs enfants, les sacs Maison Pollux, sont conçus pour passer de bras en bras, en toute élégance. Ingénieux, ce concept de sac – un pour tous – tout en un -, pourrait bien devenir l’accessoire indispensable des mères-enfants.
Riches de leurs expériences en style, pour l’une, et production pour l’autre, le duo Élise Vandamme et Delphine Monteau se rencontrent chez le maroquinier belge Delvaux. Leur dénominateur commun : recherche de style, matières et finitions produit.
La première collection de sacs se décline en trois modèles – chat, lapin et hérisson inspirés des Fables de la Fontaine, à porter en crossbody, à l’épaule ou sur le dos, grâce à un jeu de bandoulières modulables. Tout cuir, la griffe de maroquinerie, alliant pratique et esthétique, découverte à l’occasion du salon Playtime, se positionne sur le segment premium. Qualité des peausseries (vachette pleine fleur) et haute façon, n’échapperont pas aux fins connaisseurs, qui comme les deux fondatrices, s’attachent aux détails qui font toute la différence. Ergonomie, modularité, maniabilité… ne vous y trompez pas ces accessoires de formes simples aux fonctionnalités complexes nous simplifient la vie, mais se sont révélés un vrai casse-tête à développer pour préserver leur design épuré ! Basée en Thaïlande, c’est donc tout naturellement qu’Élise Vandamme y source les cuirs auprès d’une tannerie réputée et participe à la mise au point de haute technicité avec leur atelier partenaire au Vietnam, tout proche, référence dans l’industrie du luxe.
Comptez 385 euros pour les sacs et 135 euros pour les pochettes, prix boutique conseillés.
Rédaction Juliette Sebille
Photos © Thierry Cosson
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