Maison Faret se (re)met en selle
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Implantée dans les Landes depuis 1904, la marque de chaussures féminines Hirica connaît un renouveau depuis 2016, année de sa reprise par Jean-François Bru. Fort d’une longue expérience dans le monde de la chaussure, ce professionnel a engagé un important repositionnement des collections et initié une nouvelle image.
Tels sont les points forts de la marque plus que centenaire. Reconnus pour le confort de leur chaussant, les modèles ont conservé leur qualité de conception. Souples, ils sont toujours proposés dans une large palette de coloris et désormais dotés de semelles ultra légères. Si les ballerines se sont longtemps imposées comme le produit phare d’Hirica, les collections ont depuis été entièrement repensées et étoffées. « La marque a rajeuni sa clientèle avec des chaussures plus tendance tout en préservant son ADN et son savoir-faire », explique le dirigeant. Mocassins, sneakers, boots, bottes … sont commercialisés de 79 à 149 euros, prix boutiques conseillés. Ce renouvellement a été soutenu par une nouvelle identité visuelle.
Hirica est distribuée dans plus de 450 points de vente dans l’hexagone, principalement des chausseurs multimarques en centre-ville, périphérie et centres commerciaux. Partenaire du groupement d’achat ANWR-GARANT France, la marque est notamment présente chez La Botte Chantilly à Lille, Hugo Planet à Paris, Michard Ardillier à Bordeaux et Périgueux, Bègue à Orléans et Tours, Tendance à Nîmes, Bessec en Bretagne, Chausty à Haguenau, Mabboux à Mégève, Monik Chausseur à Sanary, Manik à Toulouse, Pick A Shoe à Vincennes …
L’entreprise de Saint-Vincent de Tyrosse réalise aujourd’hui 15% de son chiffre d’affaires à l’export. Hirica est diffusée en Belgique (chez Maniet), aux États-Unis (Tip Top Shoes à New York, Little’s Shoes à Pittsburgh, Vince Canning Shoes en Floride, Hanig’s Footwear à Chicago), au Canada, en Suisse, au Portugal, au Japon, en Australie ou encore en Nouvelle-Zélande. Elle devrait prochainement poser pied en Grèce.
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Rédaction Laëtitia Blin
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